EDITER A PARIS

  • Nom de la société : EDITER A PARIS
  • Votre nom : CYRIL DOHAR
  • Fonction dans la société : Gérant
  • Présentation et rapide historique de la société

Créée en 1995 en association avec les anglais de Fairwood Londres, sous le nom de Fairwood Music France, nous sommes devenus éditeur indépendant au début 2000 sous le nom d’Éditer à Paris.

  • Activité de la société, type de répertoire édité

Notre activité se déploie en plusieurs domaines :

  • La gestion de catalogues en sous-édition : RZO Music (Catalogue Bowie), Brouhaha Music (Gil Scott Heron), Fairwood Music UK (Selecters, Jackie Edwards), …
  • La gestion de catalogues locaux.
  • Le développement de notre propre catalogue avec des auteurs/compositeurs mais également artistes interprètes tels qu’Orange Blossom, Wasis Diop, Sam Mangwana, Dope Saint Jude, Neon Valley, …
  • Parcours professionnel du répondant

J’ai vraiment appris mon métier d’éditeur, du moins la façon dont je le pratique, auprès de Paul Banes avec lequel j’ai collaboré pendant plusieurs années au sein des Éditions Levallois.

  • Année d’adhésion à la CSDEM

2012

  • Pourquoi adhérer ? Que représente le fait d’être adhérent de la CSDEM ?

L’union fait la force, la CSDEM est notre représentant dans toutes les instances professionnelles et fait également un énorme travail pédagogique auprès de ses membres.

  • Votre vision de votre métier d’éditeur aujourd’hui ?

Question difficile, il y a peut-être autant de façon d’être éditeur que de type d’œuvres.

Le droit d’auteur est une mécanique juridique subtile et fragile, à chacun de trouver un mode de fonctionnement qui soutienne les Auteurs signés… beaucoup d’acteurs de nos métiers souhaitent être éditeur sans vraiment comprendre sa technique.

L’analogie avec le manager me semble assez pertinente nous sommes le manager des œuvres et à ce titre nous devons nous poser tous les jours la question : qu’est-ce que je peux faire avec ces œuvres et là le champ des possibles peut-être assez vaste …

  • et demain ?

A mes yeux deux chantiers :

  • Être très présent dans le numérique d’où l’importance de la CSDEM pour nous représenter et nous défendre.
  • Redonner à notre métier une image plus valorisante d’accompagnateur de projets et pas uniquement de supplétif de la production.
  • une  conclusion ?

Un petit souvenir professionnel, je parlais avec Max Amphoux, lui faisais part de mes doutes quant à ce métier, la façon de l’exercer, des choix artistiques, …  et il m’avait tout simplement répondu : écoute ton cœur et fonce .

C’est ce que nous essayons de faire !

www.musicdeal.fr