GRAND BLANC

Nom de la société

Grand Blanc

Votre nom

Olivier Linglet

Fonction dans la société

Fondateur et dirigeant

Présentation et rapide historique de la société

J’ai créé la société Grand Blanc en 2010 pour professionnaliser l’activité de management que j’avais démarrée en donnant des coups de mains à des artistes amis. J’ai créé les éditions en même temps et appris le métier d’éditeur sur le tas, avec l’aide de mon administrateur, Velvetica (désormais Velvet Cream).

Activité de la société, type de répertoire édité

Je partage mon temps entre le management d’artiste et les éditions, l’activité éditions peut s’apparenter à du management d’œuvres. Les deux sont donc très complémentaires à mon sens, même si nous ne les combinons pas nécessairement pour chaque artiste.

Au niveau de la couleur du catalogue, je n’impulse aucune direction particulière, j’adore l’idée que ce soit le hasard des rencontres humaines qui le façonne. De fait cela peut aller de la nu-soul la plus lumineuse à la synthwave la plus dark en passant par la chanson française !

Parcours professionnel du répondant

J’ai arrêté mes études après une licence d’anglais pour faire mon premier stage dans la musique chez Boucherie Productions à la fin des années 90. Ce label était un des monuments de la scène indé/alternative. J’ai adhéré à 100% aux valeurs véhiculées et ça m’a permis d’intégrer la nécessité d’être touche à tout pour réussir en tant qu’indépendant.  Ensuite j’ai eu l’occasion de travailler chez [PIAS], F Communications et Wagram Music, sur des catalogues plus electro avant de fonder ma société en 2010.

Année d’adhésion à la CSDEM

2018

Pourquoi adhérer ? Que représente le fait d’être adhérent de la CSDEM ?

Ayant toujours travaillé main dans la main avec un administrateur, je me suis auto-dispensé de plein de considérations liées à ce métier. Adhérer à la CSDEM répond donc aujourd’hui à une envie de rejoindre plus officiellement la famille des éditeurs, pouvoir échanger et mutualiser des compétences sur les enjeux qui animent notre profession, notamment la défense du droit d’auteur dans le monde dématérialisé, un exemple de bataille que personne ne peut imaginer livrer seul!

Votre vision de votre métier d’éditeur aujourd’hui?

On a la chance d’être au plus proche de l’artiste, pour l’accompagner dans sa création et dans les mutations de notre industrie. C’est un métier très transversal qui mélange des temps longs et des temps très courts et dans lequel il ne faut jamais hésiter à déborder de son périmètre, surtout en début de développement.

et demain ?

Rester indépendant et donc réactif, pour s’adapter aux changements qui ne manqueront pas de continuer à bouleverser notre beau métier.

une conclusion ?

Déjà? On verra plus tard, non?