- Nom de la société
HELICE
- Votre nom
Gaël Chatelain
- Fonction dans la société
Gérant, directeur artistique, responsable copyright & royalties, etc.
- Présentation et rapide historique de la société
HELICE fête en 2020 sa 15e année d’existence. Cofondée avec Thierry Chatelain et Stéphane Janin, j’en suis désormais l’associé unique et en assume seul l’ensemble des missions (avec le soutien d’un réseau de partenaires fidèles !). Depuis Pep’s, ma première signature, HELICE a accompagné le développement d’une dizaine d’artistes, dont Ludéal, Lisbone et Stracho Temelkovski – 1ère incursion dans le domaine du jazz pour HELICE – qui ont chacun sorti un album ou EP en 2020.
- Activité de la société, type de répertoire édité
HELICE consacre la plus grande partie de son activité à l’accompagnement d’auteur.e.s-compositeurs.trices-interprètes en développement, avec une esthétique dominante : la pop/chanson francophone.
- Parcours professionnel du répondant
De formation juridique (DEA en PLA à Paris II), j’ai démarré ma carrière professionnelle comme business affairs au sein du groupe MK2. J’ai ensuite managé une équipe éditoriale dans une filiale du groupe VIVENDI développant une offre de contenus online, puis j’ai dirigé les activités d’édition musicale du label ATMOSPHÉRIQUES. Aujourd’hui, outre mes activités d’éditeur au sein d’HELICE, j’apporte également mon expertise à la société IDEAL RIGHTS qui accompagne des musiciens et humoristes, et j’enseigne dans différents organismes de formation initiale ou professionnelle.
- Année d’adhésion à la CSDEM
2011
- Pourquoi adhérer ? Que représente le fait d’être adhérent de la CSDEM ?
L’adhésion d’HELICE est intervenue la même année que sa sélection pour la 1ère édition de l’opération French VIP lancée par la SACEM et la CSDEM, dont je suis également devenu administrateur en 2011. Adhérer à l’organisme représentant ma profession me semblait aussi naturel qu’important.
- Votre vision de votre métier d’éditeur aujourd’hui ?
Le rôle de l’éditeur est central pour les A/C/I en développement. Il est bien souvent le 1er partenaire « investisseur » d’un projet, prêt à prendre des risques à un stade où la proposition artistique n’est pas forcément encore aboutie et où l’audience reste à construire.
- et demain ?
Le contexte actuel va certainement inciter les autres partenaires « investisseurs » des artistes (producteurs de spectacle et phonographiques) à renforcer encore un peu plus leurs critères de « signature » quant à la notoriété/audience du projet. Le soutien des éditeurs sera donc toujours plus fondamental lors des 1ères phases de développement.
- une conclusion ?
Avant de l’enregistrer ou de la jouer sur scène, il faut d’abord qu’une chanson soit la plus aboutie possible. J’aime rappeler aux artistes que les aider à y parvenir est la 1ère mission de l’éditeur musical, ce qu’ils ignorent souvent !