DISTRICT 6 FRANCE PUBLISHING

Nom de la société

D6F, District 6 France Publishing

District 6 Music Publishing

 

 

 

Noms des dirigeants

Frantz Steinbach, DG
David Bossan, Président

Présentation et rapide historique de la société

D6F (District 6 France Publishing) est une société d’édition musicale basée à Paris, faisant partie du groupe District 6 Music Publishing.
Elle rassemble désormais un catalogue de plus de 20,000 œuvres. Elle représente, entre autres, des auteurs, compositeurs présents sur les albums de Kanye West, Jay Z, Snoop Dog, Eminem, Amy Winehouse, Chemical Brothers, Rudimental, Groove Armada, Thee Oh sees, Cocorosie, Roy Harper…

En tant qu’éditeurs indépendants, notre flexibilité nous permet de répondre aux besoins des auteurs-compositeurs de manière complète et nos propositions de gestion et d’administration offrent tous les avantages en terme d’édition et co-édition, sans pour autant que nos auteurs ne renoncent à leurs droits artistiques.

Notre objectif est d’établir une relation de confiance en toute transparence avec nos auteurs et de leur accorder l’attention individuelle qu’ils méritent, un service qu’une major d’édition ne pourrait se permettre d’offrir.

Nos domaines de compétence se concentrent sur :
* Administration de droit d’auteur
* Collecte rapide et efficiente de royalties & comptabilité
* Large représentation mondiale
* Exploitation de droit d’auteur personnalisée
* A&R
* Gestion de catalogues externes

Activité de la société, type de répertoire édité

Edition, Sous-Édition, Gestion

Parcours professionnel du répondant

Frantz Steinbach

Directeur général des éditions musicales District 6 France, Associé au sein des Editions iPanema (French VIP 2013), Commissaire des Variétés de la SACEM et Vice-Président du réseau des Musiques Actuelles de Paris (MAP) depuis 2011, Frantz Steinbach œuvre depuis plus de 10 ans dans le secteur des musiques enregistrées. Il est aussi trésorier des Pierrots de la Nuit et des Nuits Capitales et est à l’initiative de l’EuroCouncil Of The Night avec Renaud Barillet et Bruno Blanckaert.

Intervenant régulier sur les Musiques Actuelles et la Nuit, son expertise l’a conduit à intervenir sur des événements professionnels dans toute l’Europe et à encadrer très régulièrement des études relatives à l’économie des structures de ces deux filières ou des Missions confiées par des personnalités politiques européennes (Villes, Régions ou Ministères). Depuis 2013 il s’est associé à David Bossan dans D6F.


David Bossan

Président des éditions District 6 France. David Bossan a une expérience de plus d’une quinzaine d’années dans les métiers de la musique à la fois en tant que distributeur, mais aussi au sein de labels indépendants (Musisoft, Discograph, Wagram). Il participe à ses débuts au développement de la musique électronique en distribuant dans le monde entier les artistes de « la French Touch » tout en assurant le développement d’artistes locaux (Aaron, Cocoon, General Elektricks, Nouvelle Vague..). Après 10 ans en tant de DG de Discograph, il prend la tête du label 3ème Bureau au sein de Wagram (Brigitte, Orelsan, Pony Pony Run Run ou Maissiat). Il décide ensuite de mettre à profit son réseau international pour implanter et développer la société d’édition District 6 Publishing en France aux cotés de Frantz Steinbach.

Année d’adhésion à la CSDEM
2014

Pourquoi adhérer ? Que représente le fait d’être adhérent de la CSDEM ?

La CSDEM incarne depuis des années cette plateforme d’échanges autour de notre métier d’éditeur musical. La mutualisation et la communication de (et sur) nos problématiques, tant quotidiennes que structurelles, est selon nous le seul moyen de porter ces sujets à l’oreille de la puissance publique ou d’autres partenaires professionnels. Et ainsi de pouvoir défendre nos intérêts globaux mais spécifiques auprès de ces décideurs pour faire évoluer les cadres à la réalité du terrain. C’est ce canal ascendant, puis descendant, qui fait la force de la Chambre. 

Concrètement au niveau de D6F la Chambre a 2 atouts :
– un centre re ressources,
– une possibilité de faire remonter un problème concret et de le voir porté par ses élus auprès des intéressés.

Le métier d’éditeur ayant beaucoup évolué au cours des 10 dernières années, il nous a apparu évident de participer à cette dynamique.

Votre vision de votre métier d’éditeur aujourd’hui ?

D6F exploite un large catalogue d’œuvres internationales, tout en signant des artistes locaux avec toujours un fort potentiel international. Notre dernière signature, Feder, en étant l’illustration parfaite.

Ainsi, nous devons aussi bien gérer la partie administration et représentation de nos droits sur l’ensemble de nos catalogues en France (à ce jour environ 20,000 œuvres), que suivre le développement au quotidien de nos auteurs, ce qui s’apparente bien souvent au management en plus de l’édition. C’est une tendance forte ces dernières années : l’éditeur a vu son métier s’étoffer de multiples taches, allant de la production master au management, flirtant même avec des activités relevant traditionnellement du spectacle vivant, sans les « aides aux projets » spécifiques à ces métiers.

et demain ?

La tendance générale est de placer l’édition musicale au cœur du métier de développement des projets musicaux.
Cela signifie qu’il est nécessaire de sécuriser ce socle dans les années a venir.

Depuis peu, les SPRD et Soc. Civ. s’intéressent de près aux problématiques des éditeurs, tels les récents programmes d’aides de la Sacem et du FCM. Et La Chambre à travers son FrenchVIP a réussi a apporter un programme d’aide de services pour le développement des auteurs édités chez les lauréats, ce qui est également important.

Toutefois je pense qu’il faudrait aller plus loin pour sécuriser les petites structures prometteuses et proposer une aide au fonctionnement, sur 3 ans, même très modeste voire symbolique. Car on le sait, un tel socle sécuriserait aussi d’autres partenaires, à commencer par nos banquiers qui serait plus enclin à financer le risque en attendant que les droits soient perçus puis repartis par les sociétés d’auteurs. Je pense surtout à ceux qui n’ont pas l’opportunité d’avoir accès a un catalogue à représenter sur leur territoire à leurs débuts. Mais qui ont néanmoins une réelle pertinence sur le marché à terme.

une conclusion ?

Aide au fonctionnement + davantage de nouveaux titres en radio et tv + un tracking facilité et une perception-repartition à la capacité augmentée par les nouveaux systèmes informatiques de la Sacem = des éditeurs heureux.

 

Contact :

http://www.d6publishing.com/

https://www.facebook.com/district6france?fref=ts